Un texte juridique contraignant adopté par l’assemblée générale des Nations Unies qui oblige les Etats signataires à la respecter
Un texte philosophique inspiré des pédagogues qui ont étudié le développement de l’enfant
Une déclaration faite en 1945 à Genève pour que les Etats tiennent mieux compte des enfants dans les conflits armés
Le droit à la vie puisque sans celui-ci, les autres droits n’ont pas de raison d’être
L’intérêt supérieur de l’enfant puisqu’il permet de savoir précisément comment réagir dans chaque situation
Tous les droits ont la même importance et sont intrinsèquement reliés aux autres : il importe d’avoir une vue d’ensemble sans hiérarchiser les droits
La Convention a été rédigée par des enfants de différents pays ; les enfants sont les mieux placés pour dire ce qui est important pour eux
Non, ils n’ont pas été associés directement ; certaines ONG ont toutefois recueilli leur voix et ont dès lors servi de porte-parole des enfants
La Convention a été élaborée suite à une enquête réalisée par l’UNICEF dans chaque pays du monde
Non, en aucun cas ! Il faut d’abord prouver que tous les droits sont respectés avant de pouvoir la ratifier
Oui, la Convention est uniquement destinée aux pays qui reconnaissent que les droits de l’enfant ne sont pas bien respectés et qui s’engagent à améliorer la situation
Oui, tous les pays sont incités à ratifier la Convention et à mettre en œuvre progressivement les droits qu’elle contient
Les Nations Unies vont envoyer les Casques bleus pour changer les choses
Le Secrétaire Général des Nations Unies convoque le représentant de l’Etat pour le sermonner
Le Comité des droits de l’enfant formulera des recommandations pour améliorer la situation, ou il recevra des plaintes d’enfants ou encore il fera une enquête sur l’Etat mis en cause