Oui, sa fille peut bénéficier du statut de réfugié en Belgique si sa mère démontre le bien-fondé de la crainte d’excision pour sa fille.
Non, les instances d’asile ont déjà examiné la crainte liée à une MGF pour la maman et n’ont pas reconnu le besoin d’une protection internationale.
Non, sa fille n’est pas encore née. Elle ne pourra introduire une demande de protection pour sa fille que lorsque celle-ci aura atteint l’âge de 12 ans afin que l’enfant exprime personnellement sa crainte.
Oui, parce qu'elle est majeure et y consent
Non, parce que c'est une infraction répréhensible par le code pénal
Non, parce que le médecin n'est pas formé
Non, car je suis tenu au secret professionnel.
Oui, car il peut y avoir un risque pour la jeune : je peux informer la direction de l'école et effectuer une démarche vers les parents de la jeune fille
Oui, car il y a un risque pour la jeune : je dois interpeller le Parquet en urgence
Oui, car les parents ont l'autorité parentale
Oui, à condition que l'on puisse démontrer que les parents ont consenti à l'excision de leur fille, même si elle a eu lieu à l'étranger
Non, les parents n'ont pas pratiqué l'excision et ils n'étaient pas présents lorsque l'action a été commis.
Non, car l'excision a eu lieu à l'étranger.
Oui, car l'excision a été pratiquée sur une jeune fille de nationalité belge.
Oui, à condition que l'exciseuse se trouve sur le territoire belge.